Bien que ces produits offrent tous deux la possibilité de transmettre son capital à ses proches tout en jouissant d’abattements fiscaux, ils n’en restent pas moins différents. Démonstration.
Quid de l’assurance vie
Avant tout connu comme un placement financier comportant une clause bénéficiaire, l’assurance vie s’apparente à un produit d’épargne riche en solutions. En effet, il offre une large gamme de supports d’investissements destinés à enrichir le portefeuille de l’épargnant tels que des fonds en euros (avec une garantie en capital – totale ou partielle), ou des unités de compte. De manière générale, le contrat peut être géré librement et sans contraintes par l’épargnant. Comme l’indique son nom, une assurance vie est destinée à être utilisée durant la vie du client, si bien qu’un retrait des fonds est possible à tout moment si le titulaire du contrat souhaite les mobiliser pour un projet.
De plus, au-delà de ce potentiel d’investissement pour l’épargnant, c’est également un formidable outil pour penser la transmission de son patrimoine.
Si l’épargnant décède, le capital placé par ce dernier est automatiquement transmis aux bénéficiaires de son choix. Un avantage notable, d’autant qu’en deçà de 152 500 €, aucun droit de succession n’est prévu par la loi sur les versements effectués avant les 70 ans du souscripteur. Pour les versements effectués après 70 ans, un abattement fiscal de 30 500 € est prévu par la loi.
L’assurance décès ou comment anticiper l’avenir
L’assurance décès diffère de l’assurance vie sur le fond comme sur la forme et vise principalement à se prémunir d’un risque (décès, perte d’emploi, invalidité…).
A travers ce contrat, l’assureur s’engage à verser aux bénéficiaires désignés par le signataire un capital ou une rente en cas de survenance de l’aléa. Le montant de ses primes est décidé au moment de la signature du contrat et varie en fonction de plusieurs critères tels que l’âge du souscripteur ou encore de la valeur de son capital.
Deux contrats distincts se partagent le marché de l’assurance décès.
Le contrat permanent :
Le capital investi dans le cadre de cette assurance décès reviendra automatiquement aux bénéficiaires suite au décès de l’assuré.
Le contrat temporaire :
Contrairement au contrat permanent, ce type de contrat fixe une limite de temps à partir de laquelle l’assuré ne sera plus couvert, si bien qu’à l’échéance du contrat, les sommes versées sont perdues.
Comme nous le constatons ici, il est important de bien réfléchir à la nature du contrat avant de s’engager afin de ne pas avoir de mauvaise surprise de la part de son assureur.
Quelle formule adopter ?
Les deux produits diffèrent beaucoup, l’assurance vie étant avant tout un produit d’épargne jouissant d’une véritable souplesse tandis que l’assurance décès est un pur produit assurantiel protégeant les bénéficiaires du contrat grâce à un capital investi par le souscripteur.
La meilleure chose à faire avant de faire son choix est de bien cerner son besoin. Pour cela, le recours à un conseiller spécialisé sur ces questions permet de visualiser ce qui convient le mieux à sa situation.
Prudence est donc mère de vertus.
Que proposons-nous ?
Chez Linxea, le parti pris est à la valorisation du capital de l’épargnant. En des termes moins barbares, notre souhait est de permettre à nos clients de faire des profits en usant de techniques d’investissements adaptées à leur profil. Si l’assurance vie est le placement préféré au sein de l’Hexagone, ce n’est pas simplement parce qu’il convient au public français connu pour sa frilosité mais bien parce qu’il se décline à l’infini tout en profitant d’un cadre fiscal extrêmement avantageux.
Leader de l’assurance vie en ligne depuis près de 20 ans, Linxea propose une offre de quatre contrats d’assurance vie, modulables en fonction des besoins.
Alors n’hésitez pas et trouvez quel produit Linxea vous convient le mieux.
Ps : N’oubliez pas de le comparer, une armée de conseillers Linxea pourront vous épauler dans vos démarches.