[…] C’est un véritable « stress test » qu’ont connu les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) au deuxième trimestre. Ces placements prisés par les épargnants en quête de revenu sont constitués d’investissements réalisés principalement dans les immeubles de bureaux et, dans une moindre mesure, les locaux commerciaux et les hôtels. Le confinement et les fermetures administratives au deuxième trimestre pouvaient faire craindre une diminution des loyers perçus par les SCPI, et donc une baisse des rendements.
[…] « Le taux de récupération des loyers atteint une moyenne de 78 % au deuxième trimestre. Ce résultat est finalement très positif : les sociétés de gestion avaient envisagé des scénarios plus pessimistes face à la crise », constate Pierre Garin, directeur du pôle immobilier de LINXEA, qui publie un observatoire des SCPI analysant les résultats de 61 d’entre elles sur la centaine commercialisée.
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