Deux ans après, la bourse américaine survole ses pairs malgré une correction assez sévère ces dernières semaines. Les résultats des entreprises aux États-Unis s’avèrent solides comme la croissance. Le Président américain a même exhorté ses compatriotes à voter Républicain aux élections de mi-mandat (6 novembre) en indiquant que dans le cas d’une victoire des Démocrates la Bourse baisserait.
Depuis quelques jours, les investisseurs ont repris goût au risque. La baisse des marchés surtout en Europe intégrait déjà un bon nombre de risques : celui d’un fort ralentissement mondial impulsé par une Chine moins dynamique, celui d’un Brexit dur et celui d’Europe bloquée dans ses négociations budgétaires avec l’Italie.