Sans trop de surprise la réunion de la BCE jeudi dernier s’est soldée par un nouveau statu-quo. Loin d’être dénué d’intérêt, celui-ci a été l’occasion de mettre en lumière le paradoxe actuel. D’un côté, une conjoncture qui, sans susciter l’abattement, n’a rien d’exaltant.