Grâce à une collecte en 2017 de l’ordre de 385m€ (vs 324m€ en 2016), Primopierre (Primonial REIM) a vécu un exercice particulièrement animé. A l’image de l’exercice 2016, la stratégie de surinvestissement a été poursuivie… ou plus exactement amplifiée afin de profiter d’un environnement de taux d’intérêt historiquement bas. Les acquisitions ont ainsi, représenté 650m€ soit 77% de plus qu’en 2016 (367m€). Elles favorisent des immeubles en adéquation avec les exigences de la SCPI : des immeubles de bureaux localisés dans des marchés tertiaires établis (La Défense, Boulogne-Billancourt, Colombes…) et dont les caractéristiques leur permettent de s’adapter aux mutations des modes de travail. Bref, un portefeuille à vocation patrimoniale qui est le « meilleur garant de l’avenir de la SCPI ».
La même énergie a été insufflée du côté de cessions. 40m€ contre 3m€ un an avant sont venus appuyer la collecte. Au final, même si Primopierre ne fait pas expressément mention au projet du Grand Paris, la photographie de son portefeuille au 31 décembre indique une prédilection bel et bien francilienne : Sur les 61 actifs détenus par la SCPI, Paris représente 12,8 % du patrimoine en valeur vénale et la région parisienne 72,9%. Bon point pour ceux qui se préoccupent de la dimension « verte » , 60% de la valeur du portefeuille immobilier bénéficie d’une certification environnementale.
Signe d’une gestion efficace, l’exercice 2017 s’est conclu sur une franche reprise du taux d’occupation financier (91,1%). De quoi permettre de verser aux associés à un revenu stable de 9,8€. Pour sa part, le taux de distribution s’inscrit en baisse (4,85% vs 5%). Pas d’inquiétude, ce léger recul est juste imputable à la progression (3,07%) du prix de la part (202€ vs 196€)
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Primopierre