Juste pour envoyer un signal fort quant à la poursuite et l’adaptation du modèle de la SCPI en terme de création de valeur.
Pierre 48 devient Novapierre Résidentiel
1ère SCPI 100 % résidentielle du marché en termes de capitalisation (270,7M€) et riche de 618 appartements ( 40 000m2), Novapierre Résidentiel offre la faculté d’investir dans des logements du Grand Paris tout en présentant un historique de performance de plus de 20 ans.
Atypique, sa stratégie consiste à se positionner sur des actifs neufs ou anciens à prix décotés afin d’obtenir à long terme une valorisation de son portefeuille. Autrement dit, la SCPI favorise une approche plus-value en investissant dans des biens en « bloc », occupés ou démembrés. Puis, avec l’augmentation de la valeur des immeubles, elle peut revaloriser le prix de sa part et distribuer les plus-values dégagées au moment de la vente de certains biens.
Bon à savoir : fiscalement, ces versements ne viennent pas alourdir l’imposition des associés car l’impôt est acquitté par la SCPI.
À en croire Anne Schwartz, Directrice Générale de Paref Gestion, Novapierre Résidentiel détient un patrimoine « exceptionnel » acquis au fil des années et situé à 75 % dans Paris et 22 % dans le Grand Paris. La SCPI dispose surtout, de tous « les atouts nécessaires pour devenir le placement de référence en matière d’immobilier résidentiel. » Les raisons ? La dynamique du marché francilien, les nombreux projets inhérents au Grand Paris et la concentration croissante des activités et populations vers les plus grandes métropoles. Bref, de sérieux arguments susceptibles de de générer de « belles opportunités d’investissements. »
En illustration de sa stratégie, Novapierre Résidentiel a vendu au 3ème trimestre un immeuble à Paris (20ème) pour 8,7M€ alors qu’il avait été acquis en 2006, 3,1M€. Une opération d’autant plus appréciable que la plus-value est exonérée d’impôt du fait que l’acheteur soit un bailleur social.
Dernier point, l’augmentation régulière du prix de la part (14 € par trimestre). À compter du 1er janvier 2020, elle est interrompue afin de « privilégier des augmentations spécifiques en ligne avec le marché résidentiel et avec l’augmentation de la valeur de son patrimoine » précise Paref. Pour mémoire, le prix de la part est passé de 986 € à 1 397 € au 3ème trimestre soit une augmentation de 42 % en 10 ans (2009-2009).