Assurance Vie : taux et rendement 2024
Les rendements de l’assurance vie affichent une bonne performance en 2024, avec un taux moyen estimé à 2,5% sur les fonds en euros. Les meilleurs fonds euro atteignent des rendements jusqu’à 4,5%, dépassant nettement le livret A désormais fixé à 2,4%.
Cette année marque une nouvelle dynamique pour ce placement, dont l’encours total atteint le record historique de 2000 milliards d’euros. Les assureurs proposent des offres attractives, notamment via des bonus sur les nouveaux versements.


Le palmarès des rendements 2024 pour l'assurance vie
Les contrats d’assurance vie en euros monosupports (fonds euro) avec les meilleurs taux
Le contrat Ampli Mutuelle maintient sa position de leader avec un taux net de frais de gestion de 3,75%, tandis que Placement-direct Euro+ affiche un solide 3,60% sur son fonds euros, quoique en baisse de 0,50 point par rapport à 2023.
Le contrat Garance Épargne suit de près avec 3,50% net de frais de gestion. La MACSF propose un rendement de 3,10% sur son contrat RES Multisupports, une performance stable par rapport à 2023.
Comparatif assurance vie monosupports en 2024
Voici un comparatif assurance vie pour 2024, mettant en avant les meilleurs rendements des contrats monosupports (fonds euros) sur le marché.
Classement | Contrat | Taux de rendement 2024* | Assureur |
1 | Ampli Mutuelle | 3,75% | Ampli Mutuelle |
2 | Placement-direct Euro+ | 3,60% | Generali |
3 | Actépargne 2 | 3,60% | La France Mutualiste |
4 | Garance Épargne | 3,50% | Garance |
5 | Linxea Spirit 2 | 3,13% | Spirica |
6 | MACSF RES Multisupport | 3,10% | MACSF |
*Taux net de frais de gestion, brut de fiscalité.
Ces rendements s’expliquent par une gestion prudente des portefeuilles obligataires et la remontée des taux d’intérêt.
A noter : Les fonds en euros disponibles sur le marché sont de nature différentes même s’ils ont tous en commun d’être massivement investis en obligations d’État et en obligations d’entreprises (à hauteur de 70% à 80%) afin de garantir le capital versé. Ainsi, on distingue les fonds en euros classiques des fonds en euros dynamiques qui conservent une part importante d’immobilier tertiaire ou d’actions, voire les deux, dans leur composition. Les fonds en euros dynamiques sont forcément plus rémunérateurs que les fonds euro classiques.
Les contrats d'assurance vie en euros multisupports : rentabilité et risques
Les contrats multisupports offrent une double approche : une part sécurisée en fonds euros et une part en unités de compte, permettant d’accéder à un potentiel de rendement plus élevé. Cette configuration offre aux épargnants la possibilité d’adapter leur stratégie selon leur appétence au risque.
La partie en unités de compte, investie sur les marchés financiers, peut générer des performances attractives sur le long terme. Un épargnant ayant investi 30% de son capital en UC a pu obtenir une rémunération globale supérieure à 4% en 2024, selon les supports choisis.
Les profils dynamiques peuvent augmenter la part d’UC jusqu’à 60% ou plus de leur contrat, maximisant ainsi le potentiel de gain. Cette stratégie s’accompagne naturellement d’une vigilance accrue face aux fluctuations des marchés.
Comparatif assurance vie multisupports en 2025
- Linxea Spirit 2 : Ce contrat assuré par Spirica séduit grâce à des frais de gestion compétitifs de 0,50% sur les unités de compte et sa large gamme de supports d’investissement, avec plus de 700 options disponibles.
- Yomoni Vie : Reconnu pour sa gestion pilotée performante et son interface intuitive, Yomoni Vie propose des frais annuels totaux d’environ 1,60%, incluant les frais de gestion administrative et de mandat.
- Nalo Vie : Ce contrat est proposé par Nalo, un acteur reconnu pour sa gestion pilotée sur-mesure et ses frais de gestion compétitifs. Il s’adapte à votre projet de vie, en optimisant les allocations d’actifs selon vos objectifs et horizon de placement.
- Linxea Vie : Ce contrat assuré par Generali, propose des rendements compétitifs. Il combine des fonds euros performants avec une large gamme d’unités de compte, et bénéficie d’une gestion optimisée pour les épargnants cherchant à allier sécurité et performance à long terme.
- Linxea Avenir 2 : Ce contrat assuré par Suravenir, offre une gestion flexible et personnalisée, avec des frais de gestion compétitifs. Il est adapté pour les épargnants recherchant une solution flexible avec un potentiel de rendement intéressant, notamment sur le long terme.
Comprendre les taux d'intérêt assurance vie
Qu’est-ce qu’un taux de rendement en assurance vie ?
Le taux de rendement correspond à la rémunération annuelle versée par l’assureur sur l’épargne placée. Cette rémunération provient des bénéfices réalisés par la compagnie d’assurance grâce à ses investissements dans différents actifs : obligations d’État, actions d’entreprises ou immobilier.
Pour un capital de 10 000 euros placé sur un fonds euros avec un taux de 2,5%, l’épargnant recevra 250 euros de gains sur l’année, avant application des prélèvements sociaux de 17,2%.
La participation aux bénéfices est un élément important du rendement. Les assureurs doivent redistribuer au minimum 85% des gains financiers réalisés aux assurés, conformément au Code des assurances.
Comment les taux sont-ils calculés et communiqués ?
Les compagnies d’assurance fixent leurs taux selon une méthode précise. L’évaluation commence dès octobre avec l’analyse des performances du portefeuille d’investissements, notamment les obligations d’État et les actifs immobiliers.
La période de communication s’étend traditionnellement de janvier à mars. Les grands groupes comme Axa ou Allianz dévoilent généralement leurs chiffres mi-janvier, suivis par les mutuelles et les courtiers en ligne.
Le calcul intègre plusieurs paramètres : la valorisation des actifs, les frais de gestion appliqués et la provision pour participation aux excédents (PPE). Cette réserve permet aux assureurs de lisser les rendements sur plusieurs années.
Les taux définitifs 2024 varient entre 1,90% et 4,99% selon les contrats, avec une moyenne estimée à 2,50% sur le marché français.
L’impact de l’inflation sur les taux réels de l’assurance vie
La baisse de l’inflation à 2% en 2024 marque un tournant positif pour les épargnants. Les rendements réels des fonds en euros redeviennent positifs.
Un fonds en euros affichant 3% de rendement en 2024 offre désormais un gain de pouvoir d’achat de 1% après prise en compte de l’inflation. Cette situation favorable contraste avec 2023, où un taux similaire ne compensait pas une hausse des prix de 4,9%.
Pour maintenir cette dynamique positive, les assureurs diversifient leurs stratégies d’investissement vers des actifs plus performants. L’intégration d’obligations indexées sur l’inflation dans les portefeuilles permet notamment de mieux protéger l’épargne contre l’érosion monétaire.
Avantages et inconvénients des taux élevés en assurance vie
Les taux actuels plus attractifs permettent aux épargnants de bénéficier d’une meilleure rémunération sur leur capital. Cette situation favorable encourage la souscription de nouveaux contrats et dynamise le marché de l’assurance vie, offrant ainsi la possibilité de trouver la meilleure assurance vie en fonction de ses objectifs.
Autre point positif : la capacité des assureurs à constituer des réserves financières plus importantes. Ces provisions garantissent une meilleure stabilité des rendements sur le long terme.
Mais attention aux effets secondaires de ces taux élevés. La concurrence entre les assureurs peut les pousser à prendre davantage de risques dans leurs investissements. Les épargnants doivent rester vigilants face aux offres promotionnelles alléchantes qui masquent parfois des frais de gestion plus élevés ou des conditions restrictives.
L'importance du transfert du risque sur l'épargnant
L’évolution récente de la réglementation
L’arrêté du 1er juillet 2024 instaure des allocations minimales d’actifs à faible risque pour chaque profil de gestion pilotée :
- Profil prudent : au moins 50 % des actifs doivent être investis dans des supports à faible risque.
- Profil équilibré : minimum de 30 % en actifs à faible risque.
- Profil dynamique : minimum de 20 % en actifs à faible risque.
Ces pourcentages peuvent varier en fonction de l’horizon de placement de l’épargnant. Par exemple, pour un profil équilibré, la part des actifs à faible risque doit être d’au moins 20 % à partir de 10 ans avant la date de liquidation envisagée, 50 % à partir de 5 ans, et 70 % à partir de 2 ans.
Renforcement du devoir de conseil
La réforme met l’accent sur la protection des épargnants en renforçant le devoir de conseil des assureurs. Ces derniers sont désormais tenus de réaliser un suivi annuel personnalisé et de documenter précisément leurs recommandations d’investissement.
Standardisation des allocations d'actifs en gestion pilotée
L’arrêté uniformise les profils de gestion pilotée en assurance-vie autour de trois catégories : “prudente”, “équilibrée” et “dynamique”. Chaque profil doit respecter des seuils minimaux d’investissement dans des actifs à faible risque, comme mentionné précédemment. Cette standardisation vise à faciliter la lisibilité pour les souscripteurs et à harmoniser les offres du marché.
Intégration d'actifs non cotés
Autre évolution : l’obligation d’inclure une part minimale d’actifs non cotés dans les allocations des profils équilibré et dynamique. Cette mesure vise à soutenir l’économie réelle en orientant une partie de l’épargne vers des entreprises non cotées. La part minimale d’actifs non cotés est fixée à 4 % pour le profil équilibré et à 8 % pour le profil dynamique.
Comment ajuster son profil de risque ?
L’adaptation de votre profil d’investissement nécessite une évaluation régulière de votre situation personnelle. Un changement majeur comme l’arrivée à la retraite, l’achat immobilier ou la naissance d’un enfant peut modifier votre capacité à accepter les variations de marché.
L’horizon de placement joue un rôle déterminant dans ce choix. Par exemple, un jeune actif de 30 ans épargnant pour sa retraite pourra envisager une exposition plus importante aux marchés financiers qu’une personne de 55 ans préparant son acquisition immobilière.
La diversification reste une stratégie gagnante pour ajuster votre exposition au risque. Un portefeuille bien équilibré combine différentes classes d’actifs : fonds en euros sécurisés, supports immobiliers, actions françaises et internationales. Cette répartition s’adapte naturellement à vos objectifs et votre tolérance aux fluctuations des marchés.
La gestion pilotée, une solution pour ajuster le risque
La gestion pilotée libère l’épargnant des contraintes de surveillance quotidienne des marchés financiers. Un expert analyse les tendances économiques et ajuste la répartition des placements selon les opportunités.
Cette approche s’avère particulièrement pertinente dans un contexte de forte volatilité des marchés. Les professionnels ont à disposition des outils sophistiqués pour détecter les signaux d’alerte et réagir rapidement aux variations brutales.
La gestion sous mandat permet aussi une meilleure maîtrise émotionnelle face aux fluctuations boursières. L’épargnant évite les décisions précipitées, souvent préjudiciables à la performance de son contrat.
Maximiser le rendement de son assurance vie
Stratégies pour une allocation optimale
La répartition idéale de votre épargne repose sur la règle des trois tiers : un tiers en fonds euros sécurisés, un tiers en supports immobiliers (SCPI, OPCI) et un tiers en unités de compte diversifiées. Cette approche permet d’optimiser le couple rendement-risque sur le long terme.
Pour augmenter les performances, privilégiez les ETF à faibles frais qui répliquent les grands indices boursiers. Un investisseur peut par exemple allouer 20% de son capital sur un ETF World et 10% sur un ETF émergents, tout en conservant 35% en fonds euros et 35% en immobilier.
La périodicité des versements joue aussi un rôle à ne pas négliger. Des versements programmés mensuels permettent de lisser les points d’entrée sur les marchés et de réduire l’impact de la volatilité.
L’influence de la durée de placement sur les taux
La durée d’investissement constitue un facteur déterminant dans la performance d’une assurance vie. Les contrats détenus sur une longue période bénéficient généralement de taux plus avantageux, notamment grâce à l’effet cumulé de la capitalisation des intérêts.
Un placement maintenu pendant 8 ans ou plus permet d’accéder à des avantages fiscaux substantiels, avec un abattement annuel de 4 600 euros pour une personne seule sur les gains réalisés.
Les options de dynamisation des gains
La sécurisation progressive des plus-values représente une solution automatisée pour valoriser votre épargne. Cette option transfère automatiquement les gains réalisés sur vos unités de compte vers le fonds euros dès qu’ils atteignent un seuil prédéfini, par exemple 10%.
À l’inverse, la dynamisation des intérêts réinvestit les rendements du fonds euros vers des supports plus offensifs. Cette stratégie maintient votre capital initial sécurisé tout en recherchant une meilleure rentabilité sur les bénéfices acquis.
L’investissement fractionné s’avère particulièrement adapté aux marchés volatils. Cette option répartit vos versements sur plusieurs mois, minimisant le risque d’investir au mauvais moment. Un épargnant peut par exemple échelonner 10 000 euros sur 4 mois pour profiter d’un prix d’achat moyen plus avantageux.
Taux de l’assurance vie 2025 : quelles prévisions de rendement ?
Les perspectives pour 2025 s’annoncent nuancées sur le marché de l’assurance vie. Le taux moyen des fonds euros devrait se stabiliser autour de 2,80%, porté par la baisse progressive du Livret A à 2,40% depuis février.
Les nouveaux fonds euros lancés récemment affichent des performances prometteuses, certains dépassant même les 4% grâce à des investissements dans des obligations américaines aux rendements attractifs.
La baisse de l’inflation sous la barre des 2% laisse présager un rendement réel positif pour les épargnants. Les assureurs pourraient également puiser dans leurs réserves de participation aux bénéfices pour maintenir des taux compétitifs face aux autres placements sécurisés. Un bonus de rendement jusqu’à 2% pourrait être proposé sur les nouveaux versements.
Questions fréquemment posées : taux et rendement de l’assurance vie
Quels sont les impacts des taux actuels sur l’assurance vie ?
La remontée des taux directeurs de la BCE transforme profondément le paysage de l’assurance vie. Les compagnies renforcent leurs portefeuilles avec des obligations nouvellement émises, plus rémunératrices. Cette dynamique favorise particulièrement les contrats récents qui captent rapidement ces meilleures conditions.
Les nouveaux versements bénéficient désormais d’un environnement favorable. Un épargnant qui investit 10 000 euros aujourd’hui peut espérer une rémunération supérieure à celle des années précédentes grâce aux obligations acquises dans ce contexte avantageux.
Cette situation encourage aussi l’innovation : les assureurs créent des supports inédits pour maximiser l’attractivité de leurs offres. Certains proposent même des garanties renforcées sur les versements initiaux.
Comment choisir entre taux garanti et taux en unités de compte ?
La sélection entre ces deux options dépend avant tout de votre horizon d’investissement. Pour un projet à court terme (moins de 5 ans), privilégiez la sécurité du taux garanti qui protège votre capital.
Un investisseur avec une perspective à long terme peut envisager une part plus importante en unités de compte. La durée permet d’absorber les variations des marchés et de viser des rendements potentiellement supérieurs.
Votre capacité à supporter les variations de valeur constitue un autre critère décisif. Une règle simple s’applique : plus votre patrimoine global est diversifié, plus vous pouvez augmenter la part en unités de compte dans votre assurance vie.
Quels sont les inconvénients/limites de l’assurance-vie ?
Bien que l’assurance-vie offre de nombreux avantages, elle présente aussi certaines limites qu’il convient de prendre en compte avant de souscrire :
- Rendements variables et inférieurs à d’autres placements : Si les rendements des fonds en euros peuvent être attractifs, ils restent souvent inférieurs à ceux de certains placements plus risqués, comme les actions ou les fonds d’investissement. Les rendements peuvent également fluctuer en fonction des taux d’intérêt.
- Frais de gestion et de versement : Certains contrats d’assurance vie, en particulier les multisupports, peuvent entraîner des frais de gestion élevés, ce qui peut impacter le rendement net pour l’épargnant. Il est donc essentiel de bien comparer les frais de l’assurance vie entre différents contrats.
- Risque de perte en capital sur les unités de compte : Bien que l’assurance vie en fonds euros offre une sécurité, l’investissement en unités de compte comporte un risque de perte en capital. L’épargnant doit être prêt à accepter les fluctuations des marchés boursiers.
- Fiscalité : Même si l’assurance vie offre des avantages fiscaux après 8 ans, elle reste soumise à une fiscalité sur les gains réalisés. De plus, les prélèvements sociaux sont appliqués chaque année sur les gains, ce qui réduit le rendement net.
- Transfert et flexibilité limités : Bien que les contrats d’assurance vie soient transférables entre assureurs, les options de transfert peuvent être limitées et parfois complexes, ce qui rend difficile l’optimisation du contrat dans certaines situations.
Les taux annoncés sont-ils nets de frais de gestion ?
Les taux communiqués par les assureurs sont systématiquement nets de frais de gestion annuels. Ces frais, prélevés automatiquement par l’assureur, représentent en moyenne 0,80% sur les fonds en euros et peuvent atteindre 1% sur d’autres supports.
Un exemple concret permet de mieux comprendre : pour un taux affiché de 3%, avec des frais de gestion de 0,60%, le taux réellement servi était initialement de 3,60% avant déduction. Ces prélèvements assurent la rémunération du gestionnaire et couvrent les coûts administratifs du contrat.
À noter que ces taux restent soumis aux prélèvements sociaux de 17,2%, déduits chaque année. Un taux affiché de 3% nets de frais se traduit donc par une rémunération finale d’environ 2,48% après cotisations sociales.
Comment les assureurs utilisent-ils les réserves pour maintenir les taux ?
Les provisions pour participation aux bénéfices représentent un levier stratégique majeur pour les assureurs. Cette réserve financière permet de lisser les rendements sur plusieurs années, particulièrement lors des périodes de marchés défavorables.
Le niveau moyen actuel des réserves atteint 11,40% des encours en 2024, offrant aux assureurs une marge de manœuvre significative. Cette capacité financière leur donne la possibilité de soutenir un taux additionnel de 1,40% pendant huit années consécutives.
Les grands bancassureurs disposent des réserves les plus importantes. Cinq d’entre eux concentrent 60% du total des provisions du marché, renforçant leur position pour maintenir des rendements attractifs face à la concurrence des livrets réglementés.
Est-il possible de transférer un contrat pour bénéficier de meilleurs taux ?
La loi Pacte a simplifié le transfert des contrats d’assurance vie, mais uniquement au sein d’un même assureur. Cette possibilité reste soumise à certaines conditions : votre nouveau contrat doit comporter au minimum 20% d’unités de compte pour conserver l’antériorité fiscale.
Un exemple concret : si vous détenez un contrat monosupport chez Generali depuis 2015, vous pouvez le transférer vers un contrat multisupport du même assureur tout en conservant votre date d’ouverture initiale.
Pour les épargnants cherchant à optimiser leurs rendements, une alternative consiste à ouvrir un nouveau contrat plus performant tout en conservant l’ancien. Cette stratégie permet de bénéficier des avantages de chaque contrat sans perdre les acquis fiscaux.
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**Ces distinctions ont été attribuées en 2023 par les journalistes de la publication en fonction de leurs propres critères d’analyse. La durée des récompenses est d’un an à compter de sa date d’attribution.
**Ces distinctions ont été attribuées en 2022 par les journalistes de la publication en fonction de leurs propres critères d’analyse. La durée des récompenses est d’un an à compter de sa date d’attribution.
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